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Deux procédés de traitement naturel des lixiviats sont en ce moment en test à la Gabarre : le lagunage et la phytoépuration. Le 1er consiste à traiter les effluents du site, par un séjour prolongé et successif dans différents bassins. L’action du soleil (fournissant chaleur et lumière) favorisera la croissance rapide de micro-organismes qui procèderont à l’épuration des lixiviats.
Pour la phytoépuration ce sont les plantes qui effectueront ce processus de dépollution. Les tests actuels consistent à rechercher des plantes locales à fort pouvoir d’épuration compatibles avec l’écosystème.
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Depuis le lancement de la réhabilitation de la décharge en décembre 2010, la configuration du site de la Gabarre a bien changé. Dans la 1ère zone située au nord est, les travaux de reprofilage, d’étanchéité et de végétalisation sont maintenant terminés. La réhabilitation du site se poursuit actuellement avec la finition du dôme (point culminant de la décharge) et des digues périphériques. Avec la 1ère zone, ce ne sont pas moins de 9 hectares sur lesquels ont été effectuées les principales opérations de réhabilitation.
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Après le remodelage de la décharge, la pose de couches étanches, la mise en place de drains, voici venu le temps de la végétalisation de la Gabarre.
Cette étape de la réhabilitation, consiste à déposer un mélang e de terre et de semences tropicales sur les talus tout d’abord, puis sur le dôme à partir de juillet prochain.
La végétalisation de la Gabarre a pour objectif d’embellir le site. Dés à présent, on peut voir des touches d’herbe verte tapisser progressivement les talus. Il faudra attendre octobre 2012 pour voir la moitié du site se couvrir d’un beau tapis vert.
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Gabarre, la mascotte du chantier Je vous présente Gabarre, petite chienne, mascotte du chantier de réhabilitation de la décharge. Elle a fait son apparition dans la vie des ouvriers et des techniciens du chantier, Il y a un peu moins d’un an. Maigrelette et affamée au tout début, Gabarre est aujourd’hui en pleine forme grâce aux soins qu’elle a reçus. Elle s’est peu à peu laissée apprivoiser et ne quitte maintenant plus jamais la base vie où sont installés les ouvriers du chantier. Elle vient partager leur pause et se charge de leurs restes de repas.
Nous retrouverons Gabarre au fil de l’évolution du chantier.
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